Magnifique accueil pour AU LOIN, QUELQUES CHEVAUX, DEUX PLUMES… le dernier roman de Jean-Louis MILESI
Sorti ce 12 janvier 2023, les premiers retours sur le roman AU LOIN, QUELQUES CHEVAUX, DEUX PLUMES… de Jean-Louis Milesi publié par les Presses de la Cité laissent un bon espoir pour sa sélection au Grand Prix des Lectrices de ELLE !
Ce roman raconte la vie du photographe Edward Curtis. Un bourgeois de Seattle, marié et père de famille, de la fin du 19e siècle, qui a tout quitté pour sillonner l’Amérique pendant près de trente ans pour devenir le premier photographe des Amérindiens.
Sur le dos, bouche ouverte, Edward Curtis attend la pluie, il attend le martèlement des premières gouttes, la fraîcheur, il a soif, la pluie bienvenue lavera son corps de la poussière et du sang. Soudain, son corps se soulève. Le nouveau monde promis par son père, le révérend Curtis, s’offre à lui. Il aperçoit le visage de Dieu. » Bâtard ! s’entend-il lui cracher au visage. Sale bâtard ! «
Juillet 1900. Le bourgeois Edward Sheriff Curtis quitte sa famille et son studio de Seattle pour une expédition dans le Nebraska, rêvant de la photographie qui le rendrait mondialement célèbre. Au milieu de nulle part, il est attaqué et dépouillé par des bandits. Étrangement, à cause d’une image échappée de son portefeuille, Curtis a la vie sauve. Encore plus étrange, le bandit qui l’a épargné l’entraîne avec lui dans un long et dangereux périple.
Qui est ce mystérieux cow-boy ? Quel lien le relie à la pendaison de trente-huit Sioux dans le Minnesota, quarante ans plus tôt ?
Que font-ils dans cette réserve au milieu d’Indiens si loin de son imaginaire d’enfant que Curtis est incapable de les photographier ?
Une fresque audacieuse et magnifique, portée par le souffle du Grand Ouest américain : la première fiction consacrée au photographe Edward S. Curtis, qui raconte la naissance de sa vocation.
Jean-Louis Milesi a su transmettre sa fascination pour l’homme et son histoire, rendre hommage à travers le personnage du photographe à un peuple légendaire qui fait rêver mais dont la réalité est parfois bien plus abrupte qu’on ne l’imaginerait.
« Un western et en même temps, il refuse le clivage manichéen entre des indiens méchant et des cow-boys qui apportent la civilisation« . C’est l’histoire d’un regard qui va, petit à petit, complètement changer.
« Un formidable roman d’aventure, western sensible autour d’un personnage méconnu » (La page des libraires)
Quelques retours de lecteurs:
« Cette biographie romancée du photographe américain Edward Curtis se dévore comme un grand roman d’aventure ! A travers le portrait de ce jeune garçon passionné, c’est une grande fresque de l’Ouest américain qui défile sous nos yeux… Captivant!«
« Comment photographier « l’inphotographiable », ces chevaux au loin, ces deux plumes ? L’auteur a la réponse, lui qui nous embarque dans cette fresque magnifique et tragique, balayée par le souffle mortifère des pionniers. Jean-Louis Milesi sait y faire, comme toujours.«
« C’est une très belle écriture qui vous emmène loin. Vous allez découvrir le photographe E. Curtis dont les photos sont maintenant mondialement connues et vibrer pour la cause des indiens !
On ne quitte pas tous ces personnages attachants tout au long de leurs aventures.
Tout le roman s’appuie sur un gros travail de documentation qui nous plonge dans l’histoire et le quotidien d’une Amérique méconnue du début du siècle dernier. Ces détails pourtant n’alourdissent jamais le style mais rendent encore plus vivants les personnages. Une très belle découverte de cette rentrée littéraire !
« Une fresque fabuleuse !
C’est une fresque à deux voix, superbement écrite ! La naissance de la vocation du photographe E. Curtis et le sujet de toute sa vie, : les indiens d’Amérique. C’est puissant et en même temps très touchant ! J’ai adoré l’écriture et je ne l’ai laché qu’une fois fini ! »
« C’est avec une très grande précision que Jean-Louis Milesi décrit l’un des derniers combats qu’il y a eu entre les blancs et les amérindiens. Il y décrit aussi la condition des Amérindiens dans les réserves, leurs déportations, leurs vies misérables et surtout la christianisation qui leur est imposée avec la construction d’orphelinats obligatoires pour les jeunes indiennes qui ont été arrachées à leurs familles et soumises à des traitements inhumains.
Ce roman est un roman qui se lit selon deux points de vue, ce qui est très intéressant ! D’un côté, on suit Edward Curtis, ce qui nous permet d’en apprendre d’avantage sur la personne qu’il était et à travers lui, le développement de la photographie. Et d’un autre coté, on suit Mika Ohiteka, ce jeune sioux qui se bat pour survivre. Ces deux points de vue donnent un rythme au roman et permet de mieux comprendre certaines situations. Ce roman, malgré son sujet difficile, se lit avec une grande facilité. Je vous promets qu’une fois fini vous ne resterez pas indemne sur l’horreur que les amérindiens ont subie. Un livre vraiment puissant et passionnant !«
AU LOIN, QUELQUES CHEVAUX, DEUX PLUMES… de Jean-Louis Milesi, un incontournable de la rentrée littéraire d’hiver et pourquoi un futur projet audiovisuel..?